Décembre

Préparation de la Chorale de Noël

Avec les enfants de l’école Saint Pierre

Vendredi 22 Décembre 2017 19h15

Eglise de Teillé

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Lorsque Noël s’habille de Lumières

L’Espoir renaît jusqu’au bout de la terre

Joyeuses fêtes de fin d’année

Novembre

Et c’est parti pour un Tour de France Culinaire

Le groupe Ansamble, prestataire culinaire de notre Résidence,

nous propose des repas à thème chaque mois

Colmar est la première étape pour ce mois de Novembre

Octobre

Article paru dans OUEST-FRANCE

« À la Résidence de la Sainte-Famille, les aiguilles tournent dans le sens de la solidarité. À la poursuite d’Octobre rose et de son ruban géant.

Reportage

Cet après-midi, dans la salle d’activité de la Résidence de la Sainte-Famille, nous avons l’impression de nous retrouver dans les veillées d’antan où les discussions allaient bon train tout en tricotant. Nous y retrouvons cette convivialité.

Marie-Rose, Françoise, Émilienne, Jeanine, Jacqueline, Yvonne, Odile et Marie-Thérèse se retrouvent régulièrement avec le tricot dans les mains et se rappellent les vieux souvenirs. Françoise et Yvonne ont commencé à tricoter à 11 ans. Odile enchérit : « Moi, j’ai commencé à 4 ans. » Émilienne n’est pas en reste : « Moi, à 5 ans. » Si la plupart ont appris avec leurs mamans, d’autres affichent un parcours différent. « J’ai appris avec ma soeur aînée, elle avait 10 ans », dit l’une. « J’ai appris avec un catalogue », révèle l’autre. La discussion reste animée, les souvenirs se bousculent : « La première fois j’ai fait des chaussettes, c’était difficile, il fallait quatre aiguilles. » « Moi c’était des petits potons », « moi un bonnet ».

Plus de 200 carrés

Mais pourquoi soudain cette envie de tricoter ? Patricia Pichon, l’animatrice a eu l’idée par les réseaux d’animatrice.

L’Institut Curie a le projet fou et ambitieux de tricoter un gigantesque ruban rose afin d’entourer ses bâtiments à partir de carrés de laine de 10×10. L’institut a constaté qu’une femme sur huit est touchée par le cancer du sein et sait que le dépistage est primordial. Alors, afin de mobiliser, ils demandent à tous de prendre ses aiguilles et de réaliser le plus grand ruban.

Ce challenge créatif et solidaire est un formidable créateur de lien. Patricia a donc fait part du projet à certains résidents, et l’équipe s’est mise en place. « En juin, nous avions déjà participé à un défi de ce genre : tricoter la plus grande écharpe du monde en hommage à un petit garçon décédé à 18 mois et 20 jours d’une mort inopinée du nourrisson. » Tout le monde est très motivé. Beaucoup ne se contentent pas des après-midi d’activité en commun, ils poursuivent dans leurs chambres le soir. »